IL NE SERA ACCEPTÉ AUCUN
ENVOI DE TEXTE PAR VOIE ÉLECTRONIQUE.
N'attendez
pas la date limite pour envoyer votre tapuscrit et n'utilisez surtout
pas l'envoi en recommandé.
Article 6 : Les
postulants souhaitant rentrer en possession de leur tapuscrit après la
sélection pourront joindre à leur envoi une enveloppe affranchie au
tarif en vigueur. Dans le cas contraire, ce tapuscrit sera détruit.
Concernant les tapuscrits retournés par la voie postale, la
responsabilité du Secrétariat ne sera engagée ni en cas de perte, ni de
détérioration.
Article 7 : Dans
l'hypothèse où vous auriez déjà soumis votre ouvrage à d'autres maisons
d'édition, veuillez nous prévenir avant la
fin de la sélection, en cas d'acceptation de celui-ci par l'une
d'elles.
Nous
n'acceptons pas d'ouvrage faisant partie d'une série car nous
ne pouvons garantir la publication des autres tomes. Sauf si le roman
peut se lire indépendamment des tomes suivants.
Article 8 :
L'ouvrage doit être strictement inédit.
Nous refusons aussi tout texte publié et en vente sur internet
(Amazon etc...) ou ayant fait l'objet d'un dépôt légal ( N° ISBN)
Article 9 : Il
est possible de concourir chaque année, ou d'envoyer plusieurs
tapuscrits, mais un postulant ne peut proposer une deuxième fois le
même texte et, d'autre part, un lauréat ne peut solliciter une seconde
fois l'attribution du Prix décerné par la Cour de l'Imaginaire.
LE
TEXTE DOIT RELEVER EXCLUSIVEMENT DES LITTERATURES DE L'IMAGINAIRE
(science-fiction, fantastique, fantasy)
Article 10: Le
dépôt d'un ou de plusieurs tapuscrits à l'adresse du Secrétariat
implique l'adhésion pleine et entière au présent règlement .
Article 11 : Le
Secrétariat reste à la disposition des candidats pour tous
renseignements complémentaires par le biais du site de La Cour de
l'Imaginaire ou à l'adresse postale indiquée ci-dessus.
Chaque
nouvelle sélection commence au 1er mars pour s'achever au 28/29 février
de l'année suivante.
Le lauréat sera contacté
avant l'été, le roman édité pour l'automne.
La Cour de
l’Imaginaire
décline toute responsabilité pour le cas où, le prix ayant été
attribué,
l’éditeur opposerait en définitive son refus, et ce, quelles que soient
les
raisons mises en avant par ce dernier.