Depuis l’adolescence,
j’ai toujours été très curieux des questions liées à la vie et à ses
fondements : son fonctionnement, ses origines, les conditions pour qu’elle
apparaisse, son éventuelle existence extraterrestre, sa préservation, sa
diversité ...
J’ai
suivi des études de biologie, avec un master en biologie forestière à Nancy.
J’ai travaillé au Centre de Transfusion Sanguine de Lille. Enfin, je suis entré
à l’Ecole Normale pour devenir instituteur, puis professeur des écoles.
Mon
métier d’instituteur ne me portait pas naturellement à l’étude approfondie des mystères du vivant, mais j’ai continué à
m’y intéresser, notamment par la lecture d’articles scientifiques. Bien
entendu, les thèmes abordés dans les trois romans sont liés à cette sensibilité
scientifique.
Romans
de genre fantastique-science-fiction, les concepts scientifiques y sont réels,
actuels, l’imagination fait ensuite le reste. Les problématiques sont également
celles d’aujourd’hui.
Dans
Le lac blanc, j’aborde la question
des origines de la vie, en particulier la panspermie qui reste une hypothèse
spéculative. Je pose le problème du consumérisme de nos sociétés avec sa
conséquence directe : la surexploitation et l’épuisement des ressources
naturelles.
Dans
Le loup des dunes, les mêmes
thématiques sont soulevées. La thérapie virale intervient dans le déroulement
de l’histoire.
Dans
Les chemins d’obsidienne, l’intrigue
repose sur le concept de la biodiversité grâce à des êtres mi-végétaux,
mi-animaux qui l’ont ruiné sur leur propre planète, évolution observable sur la
Terre en raison des activités humaines.
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